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Comment accepter l’idée de la mort ?

28 mars 2025
Temps de lecture: 2 min

La mort reste un sujet difficile à gérer. Nombreux sont ceux qui ont du mal à en parler. Plus de la moitié des Belges pensent pourtant déjà à leurs adieux, comme en témoigne une enquête menée par DELA auprès de plus de 2 000 d’entre eux. Même des jeunes âgés de 18 à 34 ans, comme Brecht (24 ans), imaginent déjà leurs funérailles dans les grandes lignes. Malgré cette évolution, il reste compliqué de franchir le pas et de régler les formalités pratiques.

Pourquoi est-il si difficile de parler de la mort ?

Si l’on se penche sur ces dix dernières années, on se rend compte que la mort reste un sujet tabou. Nous sommes pourtant de plus en plus à nous en préoccuper. 40 % des gens abordent le sujet avec leur famille ou leurs amis. Et les plus de 71 ans ne sont pas les seuls à le faire, comme l’illustre le témoignage de quelques personnes sondées.

Odette (71 ans) n’a pas peur de mourir. Bénévole au service d’oncologie d’un hôpital, elle est confrontée à la mort au quotidien. « Ça me donne confiance en moi. » Odette parle tous les jours de la fin de vie avec ses patients : tantôt avec douceur et circonspection, tantôt avec une pointe de dérision, voire une note d’humour.

Georges (32 ans) a récemment vécu son premier deuil quand il a perdu sa grand-mère, si chère à son cœur. Il travaille dans le domaine de l’aviation et la mort ne l’angoisse pas. Malgré son âge, il ne veut pas en faire un sujet tabou. « Bien préparer l’avenir, c’est rendre moins difficiles la mort et la vie qui la précède. »

Brecht (24 ans) a découvert DELA via un ami. Âgé d’une vingtaine d’années, il veut être indépendant à tous les niveaux. Il a déjà souscrit une assurance obsèques, afin que sa famille ne doive pas payer ses funérailles s’il venait à décéder inopinément. « Les gens sont étonnés quand je leur parle de mon assurance obsèques. » Aucun de ses amis n’en a souscrit une.

Comment la peur de la mort nous affecte-t-elle ?

Bien que Brecht ait souscrit une assurance obsèques chez DELA relativement jeune, il n’a pas encore pris d’autres dispositions pour plus tard. Le pas reste difficile à franchir, comme le confirme l’enquête. Seul un Belge sur dix a déjà consigné ses volontés sur papier (à l’exception d’une déclaration de don d’organes et d’un testament).

Conséquence ? Les personnes qui doivent organiser un enterrement pour la première fois éprouvent des difficultés, car elles ne connaissent pas les souhaits de l’être cher décédé.

Comme les gens préparent peu leurs funérailles, la plupart des proches ouvrent de grands yeux quand ils découvrent la facture afférente. Selon le calculateur de frais d’obsèques de DELA, un enterrement ou une crémation standard coûte en moyenne entre 5 500 et 6 500 euros, hors pierre tombale et concession.

 L’assurance obsèques m’apporte la sérénité. Je ne pense pas trop à la mort, car je sais que grâce à cette assurance, tout sera réglé. Brecht, 24 ans

Organiser ses propres obsèques

Afin de rendre le sujet un peu moins tabou, DELA a conçu un outil qui vous permet de consigner vos souhaits funéraires facilement. Vous pouvez le faire en ligne, même si vous n’êtes pas client. Qui plus est, rien ne vous oblige à consigner vos souhaits en une seule fois. Vous pouvez le faire tout au long de votre vie et les modifier aussi souvent que vous le souhaitez. Ces cartes des dilemmes.

Vous pouvez aussi vous rendre chez votre entrepreneur de pompes funèbres local. Nos entrepreneurs de pompes funèbres vous donneront des conseils détaillés sur les possibilités de funérailles qui s’offrent à vous. Vous pourrez ensuite consigner tous vos souhaits sur papier. Notre entrepreneur de pompes funèbres peut aussi calculer le prix de vos obsèques personnalisées, pour que vous vous fassiez aussi une idée de l’aspect financier.

Ensemble, brisons le tabou qui entoure la mort.

Lisez le communiqué de presse complet.